Après une formation en Histoire de l’art et une spécialisation en art moderne et contemporain de laquelle il sort major de promotion, Benjamin Carteret intègre l’atelier d’un sculpteur de renom avec lequel il travaille pendant 8 ans à la tête de la communication, des relations presse et des éditions. Pendant ces 8 années, Benjamin fait rayonner l’image de cet artiste en participant aux plus grands projets de sa carrière : au château de Versailles, au Qatar, au Musée du Louvre, à Angoulême, à l’Académie des beaux-arts ou encore avec Louis Vuitton, diptyque, Dior, Actes Sud ou Phaidon.

Depuis 2021 Benjamin est indépendant et propose ses services d’écriture et de conseil en stratégie de communication en travaillant avec de nombreuses entités, privées comme publiques : artistes, fondations, Maisons du luxe ou galeries.

En parallèle, Benjamin développe ses projets personnels :

• La publication de son premier livre à compte d’auteur, un recueil de ses photographies personnelles intitulé Fétiches, est accueillie avec enthousiasme par les librairies et le public.

• À la suite de cette publication, Benjamin retourne à ses premières amours, l’Antiquité et la mythologie, et initie plusieurs projets autour de deux grands thèmes : le mythe de Perséphone qui l’obsède depuis l’enfance et la ‘parole performative’ étudiée par le philosophe J.L. Austin. Du mythe de la déesse du printemps descendue dans l’Hadès, il écrit, sous forme de roman, une version réaliste et féministe hantée par l’urgence des questions contemporaine liées aux transformations écologiques que nous vivons. Perséphone sera publié le 20 mars 2024 aux éditions Charleston.

• Son essai Moi, Orphée, sera quant à lui publié aux Éditions ateliers Henry Dougier le 6 juin 2024.

• Un projet au long cours fait également suite à ses voyages en Grèce au cours desquels l’auteur, piqué par une phrase d’Heidegger, se transforme en archéologue de mythes et va prier, dans leurs sanctuaires, 16 dieux pour les faire exister à nouveau. De ces prières, que d’aucuns pourraient qualifier de désespérées, restent des cartes mythologiques* dessinées, rédigées plutôt, à la main, qui témoignent de la place sacrée qu’il donne à l’écriture et à la parole. 

• Benjamin travaille aussi à un projet de roman graphique sur Jean Cocteau avec la dessinatrice Gabrielle Lavoir, soutenu par le Comité Cocteau.

• Enfin, avec Sacha Llewellyn et RAW (Rediscovering Art by Woman), Benjamin travaille à une enquête biographique sur la peintre Françoise Gilot.

Benjamin est représenté par Carla Briner-Mercier de l’agence Pontas